Israël broie du noir après l'échec de sa guerre au Liban
Un chef de gouvernement cloué au pilori pour les revers de la guerre au Liban, un président de l'Etat soupçonné de viol, un ministre de la Justice qui démissionne : jamais la classe politique n'a été aussi discréditée en Israël.
La principale source de mécontentement provient du sentiment général que la campagne du Liban, après 34 jours de combats et bombardements, n'a pas rempli son objectif principal : affaiblir substantiellement le Hezbollah et réaffirmer le pouvoir de dissuasion d'Israël.
Suite : Libération
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire